Conclusion

   Le colibri se distingue donc des autres oiseaux par ses besoins en énergie, la particularité de son vol, et ses couleurs chatoyantes. En effet, il est petit, léger et habile en vol : cela lui permet d’atteindre les fleurs qui le nourrissent. Sa relation avec celles-ci est quotidienne, il les visite plusieurs fois par jour en se souvenant exactement de leur emplacement.  Si par mégarde, un de ses congénères ose prélever le nectar d’une des fleurs qu’il visite, le colibri exposera à la vue de son adversaire son plumage. Ses couleurs résultants d’un phénomène physique particulier, en font un des plus beaux oiseaux sur terre. Enfin, les fleurs qui fournissent le nectar au colibri, sont majoritairement rouges et de formes plutôt longue. Cela s’explique par une coévolution entre le colibri et les fleurs. La couleur rouge étant invisible par les insectes comme les abeilles, les fleurs que visitent le colibri lui sont entièrement dédiées, les insectes volant ne remarqueront pas ces fleurs gorgées de nectar. La forme des fleurs aide aussi à favoriser le colibri, qui grâce à la longueur de son bec, peut aller prélever le nectar au fond des fleurs. Le nectar est à l’origine de la nourriture de l’oiseau-mouche, il lui fournit sucre et nutriments. Ces éléments sont essentiels à la vie du colibri, associés au dioxygène de l’air, ceux-ci permettent aux muscles de se contracter et se relâcher. Ainsi, le corps de l’oiseau-mouche est bien adapté à son mode de vie. 

   De plus, le colibri est la source d'inspiration de nombreux scientifiques. En effet grâce à cet exemple ils ont pu expliquer certaines caractéristiques liées à l'aerodynamisme. Ainsi, certaines notions jusque là inéxpliquées, ont été resolues. Ces nouvelles données ont permis la création de nouvelles machines. Certaines se sont montrées au public, d'autres sont restées à l'état de maquette ou de dessin. Quoiqu'il en soit, on compte parmis ces révolutions l'hélicoptère, qui de nos jours, est la conception la plus emblable au colibri en raison de son vol stationnaire.

   Mais il est très compliqué d'imiter le fonctionemment d'un animal. Beaucoup de cherhceurs tentent aujourd'hui encore de reproduire certains mecanismes venant de la nature. On appelle cela le biomimétisme.